Soutien à Xanton-Chassenon

L’enquête publique concernant les nouvelles implantations d’éoliennes à Xanton-Chassenon débute le 27 mai 2019.

Il est important de se mobiliser pour faire entendre votre voix et dire STOP à l’encerclement de nos villages par les éoliennes industrielles.

Soyez solidaires et mobilisez-vous pour préserver le cadre de vie du Sud-Vendée.

L’enquête publique est un temps fort de l’information et de la participation des citoyens. Elle informe le public sur les projets susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement ou la qualité de vie des habitants. Toute personne peut consulter le dossier dans les lieux prévus à cet effet et peut présenter des observations, favorables ou non au projet, et proposer des suggestions ou des contre-propositions. Le public a également accès aux observations portées au registre.
Elle est ouverte à tous, sans aucune restriction.

Le commissaire enquêteur a pour mission de consigner les remarques des citoyens dans un registre. Ce rapport est remis au Préfet pour éclairer sa décision d’autorisation d’implantation d’un projet.

A vos agendas !
Permanence en mairie de Xanton
Le lundi 27 mai de 9h à 12h30
Le mardi 11 juin de 14h à 18h
Le vendredi 21 juin de 14h à 18h
Le vendredi 28 juin de 14h à 18h30
Permanence en mairie de St Hilaire des Loges
Le mardi 4 juin de 14h à 18h
Le vendredi 14 juin de 9h à 12h

Si vous ne trouvez pas le temps ou si vous ne pouvez pas vous déplacer, écrivez vos remarques à enquetepublique.vendee3@orange.fr

Parc éolien en mer

Le pourvoi des associations d’opposants au projet de ferme éolienne au large du Croisic sera examiné lundi 20 mai 2019, à 14 h.

Le projet de parc éolien de Saint-Nazaire face au Croisic sera enfin examiné par le Conseil d’État à Paris, en audience publique, lundi 20 mai 2019.

Le projet d’installer 80 éoliennes marines à une dizaine de kilomètres au large du Croisic est contesté, depuis le départ, par deux associations : le Groupement des résidents pour la sauvegarde environnementale de La Baule et l’association pour la protection du site et de l’environnement de Saint-Marguerite (Pornichet).

Communiqué du 18 mai 2019 du collectif défense de la mer

Eolien en mer sur le Banc de Guérande : Dans l’attente …
120 députés et les présidents des régions Bretagne, Normandie, Pays de la Loire, Nouvelle Aquitaine, Paca et Occitanie, ainsi que le puissant lobby Syndicat des Energies Renouvelables (SER) et France Energie Eolienne (FEE), font pression sur le gouvernement pour affecter toujours plus de financement pour des projets éoliens en mer inutiles auxquels s’opposent des associations environnementales et des pêcheurs. Dans une lettre en date du 5 avril 2019, le Premier Ministre constate « les difficultés majeures générées par les décisions des précédents gouvernements concernant les appels d’offres éoliens en mer initiés en 2011 et 2013. Lancés trop tôt, avec des procédures inadaptées et pour des volumes trop importants, ces projets étaient très largement retardés du fait des défauts de leur conception même, alors qu’ils obéraient par ailleurs de manière très substantielle le financement de la transition énergétique. » La Cour des Comptes a estimé à 40 milliards d’Euros le coût des premiers projets éoliens en mer. Le Conseil d’Etat appréciera si les procédures inadaptées peuvent être, malgré tout, considérées ou non conformes à toutes les règles légales (audience le 20 mai, et décision fin mai début juin ?)… Quant aux défauts de conception, le premier vient de l’Etat lui-même : c’est le choix de la zone du projet sur le Banc de Guérande, alors qu’il serait possible de la reculer tout en restant dans la zone propice définie initialement par le Préfet, pour un moindre coût et un moindre impact environnemental. L’argument qui nous fut opposé de ne pas changer le contrat initial a été depuis totalement balayé par l’Etat. Bien des questions n’ont toujours pas de réponses :
1. Un facteur de charge de 41,5% n’est pas crédible ici avec un vent moyen de 7 à 8m/s quand les installations de mer du Nord, autrement plus ventées, sont de l’ordre de 35%. Est-ce pour cela que la ressource en vent de St Nazaire-Noirmoutier n’est pas publique, et qu’aucun calcul justificatif n’est venu confirmer une production annoncée de 1 735GWh annuels ?
2. Bien qu’implantés sur des fonds rocheux calcaires de même nature, le projet de St Nazaire prévoit des structures « monopieu », celui de Noirmoutier des structures « jackets » : pourquoi ? L’action économique voudrait pourtant qu’on utilise l’offre locale de STXChantiers de l’Atlantique…
3. La méthode annoncée d’anticorrosion utilise des anodes sacrificielles ( 12 tonnes par éolienne) qui déverseraient de 80 à 100kg par jour d’aluminium, qu’on retrouverait dans la biodiversité marine locale, et qui contamineraient toute la chaîne trophique (alimentaire) … Communiqué 18 mai 2019 2 / 2
4. Avec les énormes déferlantes du Banc de Guérande, la question de tenue au fond des 120km de câbles inter-éoliennes ne peut se résoudre par ensouillage, et la solution envisagée est l’enrochement : la convention d’occupation du domaine public maritime indique une surface occupée de 1 680 000 m², soit de 5 à 10 millions de tonnes de roches. Cela correspond à une noria de plus de 200 000 camions de 30 tonnes soit sur nos routes vers St Nazaire ou La Turballe, soit sur les routes du pays des carrières (Bretagne Nord ?) en cas de livraison directe par mer. Structure en béton (fabriquées où ?) ou enrochement : quelle solution est prévue ?
5. L’effet barrière et l’impact sur les espèces protégées ? On ferait un « suivi biologique adapté ». La réponse pose encore plus de questions : « si le résultat de ce suivi montre que le projet a un impact significatif sur les espèces protégées, des mesures de réduction et de compensation seront adoptées, et une demande de dérogation pourra être déposée ». Donc on acceptera la destruction des espèces protégées, base de la biodiversité et essentiellement espèces migratoires qui fréquentent les marais salants et la Brière avant de poursuivre leur migration…
6. … et la liste des questions reste encore longue… Finalement, le projet est effectivement mal conçu, fondé sur : – des intérêts économiques et industriels particuliers, et une illusoire filière française mort-née ; – une analyse erronée de l’intérêt général ( quelle efficacité énergétique et quels coûts), avec un système généralisé de subventions ; – une qualification mensongère d’impact sur le climat ; – un intérêt social non établi, du fait de la contradiction entre les quelques emplois industriels non pérennes à St-Nazaire et les nombreux emplois de service ou commerciaux existants de l’activité touristique de la Presqu’île Guérandaise ; – une analyse théorique non validée de l’impact environnemental, au moment de la prise de conscience de la fragilité de la biodiversité . Les députés, sénateurs, présidents de région et autres élus locaux devraient moins rêver d’actions d’éclat, proposées par les technocrates ou les idéologues, réfléchir avant de communiquer, et surtout mieux écouter le bon sens des citoyens, qui, au final, sont ceux qui financent par toutes sortes de taxes et impôts ces « grands projets inutiles et imposés » : ils leur en demanderont compte.

Contact: Alain Doré 06 80 20 38 40 defensedelamer@gmail.com
www.dlm-eoliennesenmer.net Stop-aux-éoliennes-sur-le-banc-de-Guérande

Implantation et distances du projet éolien à Saint Maurice des Noues

Implantation et distance du projet éolien

Nous avons, à titre d’information pour les Mauriciens, matérialisé l’emplacement sur une carte Google Maps du projet de parc zone industrielle éolienne à Saint Maurice des Noues.

Nous nous sommes servis des informations disponibles sur le site de la DREAL et visible par tous à l’adresse https://carto.sigloire.fr/1/n_sre_eolien_r52.map

Afin de visualiser l’impact, nous avons ajouté en repère une photo prise à Coulonges sur l’Autize, à une distance de 2,5 km environ.

Pour rappel également, en février 2015, dans le cadre de l’examen du projet de loi sur la transition énergétique, le Sénat a augmenté la distance minimale entre une éolienne et des habitations afin de protéger les riverains des nuisances. Cette distance a été fixée à 1 000m.
Malheureusement, en avril 2015, suite à une forte mobilisation du lobbying éolien, l’Assemblée nationale est revenue à une distance minimale de 500 mètres entre une éolienne et une habitation.
L’Académie de Médecine, qui préconisait 1500m d’éloignement avec les maisons, réclame depuis 2006 qu’une étude épidémiologique sur le sujet soit menée.

Ce qui est certain, c’est qu’en utilisant à minima les recommandations du Sénat, il n’y aurait pas de projet éolien à Saint Maurice des Noues et Antigny, ni à Saint Hilaire de Voust,… et que le Pays de La Châtaigneraie ne serait plus le terrain de jeu sauvage des promoteurs.

Si vous pensez que cet article vous a éclairé et vous a apporté matière à réflexion, n’hésitez pas à le partager à vos amis, chacun a le droit d’être informé.
Vous pouvez peut-être également songer à adhérer à l’association en téléchargeant le bulletin d’adhésion.
Merci.

Vent de Voust dans Ouest France

L’association Vent de Voust, comme l’association Vent des Noues, s’oppose aux projets d’installation d’éoliennes au Pays de La Châtaigneraie et dénonce dans un article paru sur Ouest France les principaux problèmes :
– Faible niveau d’information de la population
– Saupoudrage des éoliennes
– Distance de sécurité
– Risques de projection
– Mauvaise distribution et répartition des aides de l’Etat
– Démantèlement et dépollution

Des membres de l’association Vent de Voust.

Des membres de l’association Vent de Voust.

Nous ajoutons à cela, suite aux très nombreuses études parues concernant l’impact sur la santé de l’ensemble des êtres vivants (hommes, animaux, oiseaux…), la mise en place du principe de précaution sur l’éolien.

Retrouvez l’article publié sur Ouest France

Vidéo La Fronde anti-éolienne – C Politique, la suite – 07/04/19

L’enquête : la Fronde anti-éolienne

Yohan Malka, journaliste à C politique, est parti à la rencontre de ceux qui disent “non” aux éoliennes. Au nom de la transition écologique, Emmanuel Macron a prévu de multiplier par trois les éoliennes d’ici 10 ans. Mais, cette ambition se heurte à la fronde de beaucoup de riverains qui mettent en avant les nombreuses nuisances provoquées par cette électricité écologiste combattue y compris par certains défenseurs de l’environnement.

Eolien : Risques sanitaires et Principe de précaution

Nous gérons les risques sanitaires de façon très paradoxale.

Tantôt, on les exagère, comme avec la Grippe H1N1 en 2009 et les 94 millions de vaccins achetés dont 6 millions ont été réellement utilisés et 19 millions incinérés. Coût de l’opération : 382 millions d’euros pour les caisses de l’État, donc pour notre pomme.

Tantôt, on les minimise ou on les ignore.

Prenons par exemple le cas de l’amiante, avec les premières études et preuves de danger en 1945 et une interdiction en … 1997 ! Pour rappel, le premier cas de cancer directement imputable à l’amiante date de 1965. L’amiante a tué 35 000 personnes en 30 ans et risque de provoquer au moins 65 000 décès supplémentaires.

C’est le cas également du scandale du sang contaminé, révélé en 1991, alors que les contaminations ont eu lieu entre 1984 et 1986.

Un autre exemple : Le fameux glyphosate de Mosanto, commercialisé en 1974. Les études ont prouvé dès 2000 ses effets nocifs et il a été classé « probablement cancérigène » en 2015. Il n’est, à ce jour, toujours pas interdit par l’Union Europénne !

Le lien entre ces 3 scandales sanitaires : La toute puissance des lobbies industriels et financiers et leur ingéniosité (et mauvaise foi) pour masquer les risques et la vérité le plus longtemps possible, afin d’en profiter un max, au détriment de notre santé.

C’est pourtant pour éviter ces risques qu’a été créé le Principe de précaution en 1992 et qu’il a acquis, en 2005, un statut juridique :

« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veilleront, par application du principe de précaution, et dans leurs domaines d’attribution, à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »

Wikipedia

L’énergie éolienne échappe étonnement, à ce jour, à ce principe de précaution.
Pourtant, en constatant le nombre d’actions en justice de riverains d’éoliennes concernant la santé, ainsi que de nombreuses études dans d’autres pays européens qui confirment que la proximité des éoliennes provoquent des troubles de la santé, ce principe doit être purement et simplement appliqué à l’éolien.

A moins que la parole du peuple ne soit pas entendue ou qu’on la méprise.

Cela s’appelle du déni : ” la personne qui dénie se comporte comme si cette réalité n’existait simplement pas, alors qu’elle la perçoit. “

Pour quelles raisons :
Parce que notre santé et notre bien-être ne pèsent pas lourds face aux puissants groupes d’intérêts et à leurs €uroliens.

A lire pour d’autres informations :
Chronique d’un naufrage annoncé de Pierre Dumont

Charente-Martime, Hauts de France, Vendée ? La même vision des éoliennes!

Le Conseil départementale de Charente-Maritime a voté le principe d’un moratoire de 2 ans, gelant l’implantation de toute éolienne.

Quelques extraits de l’article à lire en entier https://www.geo.fr/environnement/eoliennes-la-charente-maritime-vent-debout-contre-de-nouveaux-projets-195062

La Charente-Maritime s’inquiète de voir sur ses paysages(…) se hérisser de plus en plus de mâts éoliens, et tente de dire stop.
(…)venant après la région Hauts-de-France où le président Xavier Bertrand (ex-LR) souhaite aussi mettre le holà
abrite entre 71 et 81 mâts actifs (…) on oscille, selon les sources, entre 300 et 475 mâts potentiels à venir…
pas contre l’éolien mais contre l’abus d’éoliennes
certains opérateurs qui ne sont pas “de grands partisans de l’environnement” et “vendent les éoliennes comme des réfrigérateurs”
tout se passe un peu en secret jusqu’à ce que l’enquête publique arrive. Ça énerve les riverains
Localement, des colères montent (…) on est à deux doigts d’avoir des gilets jaunes de l’éolien!

Les éoliennes profitent aux Français… Il parait !

C’est hallucinant. Plus nous nous renseignons sur l’éolien, plus nous lisons, plus nous sommes tristes, choqués, déçus, dégoutés… La liste pourrait être longue.
Les éoliennes profitent aux Français… C’est ce qu’on nous dit…
Ci-dessous un extrait de l’article paru sur Planete Business

La société énergétique italienne ERG va acquérir la société française Les Moulins de Frouges, qui possède six parcs éoliens opérationnels en France pour une puissance totale de 52 MW

https://www.planete-business.com/2019/03/30/eolien-erg-securise-lachat-de-six-parcs-francais-de-52-mw/

Et la suite est édifiante : “actifs opérationnels et logistiques”…”faciliteront l’obtention de synergies à travers des interventions de repowering futures”.

Tout est dit…
Eoliennes : Je paie, tu paies, nous payons…Ils encaissent🤬

Développeur éolien recrute spécialistes de l’acceptabilité

Un nouveau métier dans le vent

Le vent tourne pour les développeurs éoliens. En France, la majorité des projets éoliens sont attaqués en justice (impact sur la protection de la nature, question des nuisances sonores, intégration des éoliennes dans le paysage, proximité des zones d’habitation et d’élevage, fin de vie des éoliennes…). L’ensemble de la profession cherche donc par tous les moyens à nous transformer en gentils moutons sages et obéissants, devant accepter bien gentiment ce qui est bon pour nous, mais que nous ne sommes apparemment pas suffisamment intelligents pour comprendre.

Afin de nous éduquer au plus vite, les développeurs créent des postes de “spécialistes de l’acceptabilité”, autrement nommés “responsables dialogue territorial et concertation”.

Les chefs de projet seront donc accompagnés sur le terrain par des personnes ayant fait de grandes études, spécialisation “dialogue et participation” de préférence, qui seront en charge de nous expliquer tout le bien que nous font les éoliennes…

source : https://www.emploi-environnement.com/news/eolien-emergence-nouveau-metier-charge-de-concertation-acceptabilite-367.html

Je suis d’accord sur un point : la solution à la production énergétique passe par l’apprentissage :
– écologique : apprendre à mieux consommer, la Vendée est championne du tri, nous pouvons très bien devenir champions de la moindre-consommation énergétique
– économique : apprendre à stocker l’énergie afin d’éviter les surproductions, qui sont systématiquement revendues à perte
– scientifique : accentuer la recherche sur les énergies alternatives type Perovskite

Je pense que le simple bon sens permet de comprendre cela et que les ressources mobilisées pour et par les vendeurs de vent seraient bien plus utiles et salutaires si elles étaient investies dans ces domaines.