Dans le journal de la Vendée n°259 de novembre 2019, page 10, les élus s’indignent, à juste titre, de “l’annonce de la fermeture de Michelin, d’autant qu’elle a sérieusement manqué de concertation“.
“Pour les uns, c’est une longue histoire qui se termine, une page qui se tourne dans la douleur; pour les autres, ce sont des prêts à rembourser chaque mois, des projets à reporter sine die, une vie parfois à repenser; pour tous, c’est l’incertitude du lendemain.“
“Le Conseil départemental se doit d’être à leurs côtés.“
“(…) quel respect des personnes et des engagements? Quel avenir est promis (…) ? Leur faudra-t-il quitter la Vendée à leur tour ?”
“À l’évidence, nous ne partageons pas les mêmes codes que ces gens-là qui, après avoir capté des millions d’argent public, lâche la Vendée.“
Le parallèle est saisissant avec l’implantation de zones industrielles éoliennes en Vendée, le mitage du département et le saccage de la vie de milliers de vendéens.
Ces phrases touchantes et pleines de sens, s’appliquent aussi à l’éolien.
Le manque de concertation, la douleur, les prêts à rembourser, la vie à repenser, l’incertitude du lendemain, le respect des personnes, quitter la Vendée, des millions d’argent public. Ce ne sont pas que des mots.
Ce sont des vies humaines sacrifiées au nom d’opérations financières spéculatives.
“Nous ne partageons pas les mêmes codes que ces gens-là“.
L’association Vent des Noues l’affirme avec force et conviction :
Nous ne lâcherons pas la Vendée.
Mesdames, Messieurs les élu(e)s, agissez avant que les vendéens et les touristes ne quittent la Vendée.
Ne lâchez pas la Vendée.
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