Le Coût du soutien – Dossier Tabou La face noire des énergies vertes – M6 5 décembre 2021

Un extrait du programme « Dossier Tabou La face noire des énergies vertes » concernant le coût du soutien aux éoliennes.

« L’État a décidé de subventionner la production d’électricité éolienne et photovoltaïque »
« Des subventions très généreuses »
« 121 milliards d’euros à verser aux acteurs de la filière jusqu’en 2046 »
« Un surcoût que les Français paient chaque mois sur leur facture d’électricité »
« La CSPE. Depuis sa création au début des années 2000, cette taxe sur l’électricité a connu une augmentation vertigineuse de 650% ! »




La Prolifération – Dossier Tabou La face noire des énergies vertes – M6 5 décembre 2021

Un extrait du programme Dossier Tabou La face noire des énergies vertes concernant la prolifération (effet multiprises) des éoliennes.

« Pour optimiser les coûts, d’autres parcs éoliens viennent du coup se raccorder au parc existant »
« C’est ainsi que les éoliennes prolifèrent souvent, à partir du même point de départ »


Le Bruit – Dossier Tabou La face noire des énergies vertes – M6 5 décembre 2021

Un extrait du programme Dossier Tabou La face noire des énergies vertes concernant le bruit généré par les éoliennes.

« Là on les entend carrément »
« Fenêtres ouvertes, face aux éoliennes, j’ai 39 dBA »
« Les éoliennes(…) sont deux fois et demi plus bruyantes que le niveau maximum autorisé »
« La protection des gens contre le bruit fixe un seuil à 30 dBA »
« Les éoliennes (…), à partir de 2011, on leur autorise 35 dBA au lieu de 30 »
« En passant la limite de 30 à 35 décibels, la loi a permis de multiplier les projets éoliens, au détriment de la santé des habitants »

La Châtaigneraie (Vendée) : des opposants aux éoliennes manifestent aux portes des Deux-Sèvres – La Nouvelle République 27/11/2021

Jeudi soir, des riverains et agriculteurs hostiles à des projets éoliens ont perturbé la conférence des maires du Pays de La Châtaigneraie (bocage vendéen).

Vers 19 h, une centaine d’habitants, banderoles et pancartes à la main, et agriculteurs au volant de tracteurs sont venus « accueillir » Valentin Josse, président de la communauté de communes et conseiller départemental. Au Pays de La Châtaigneraie, plusieurs projets éoliens sont sortis de terre ces derniers mois, dont cinq éoliennes à La Loge-Fougereuse, où l’enquête publique s’achève.

Retrouvez l’article complet à l’adresse ci-dessous :
La Châtaigneraie (Vendée) : des opposants aux éoliennes manifestent aux portes des Deux-Sèvres (lanouvellerepublique.fr)

Bruit, vibrations, lumières… ils vivent en Occitanie, près d’éoliennes, et n’en peuvent plus – Midi-Libre 17 novembre 2021

Des riverains indisposés par la présence d’éoliennes terrestres témoignent.

« Moi, je vois 80 éoliennes dans un rayon de 5 km et le bruit ça dépend du brouillard, de la pluie… C’est l’été où on les entend le plus. Le soir aussi, ça fait « wouf, wouf, wouf » le bruit des pales, quand je suis dans mon canapé et que j’éteins la télé, ça m’arrive de les entendre les éoliennes. En fait on a l’impression qu’il y a une voiture qui arrive chez nous en permanence ».

Midi-Libre 17 novembre 2021

« Les éoliennes ont un impact sur les chauves-souris qui mangent les mouches et j’ai des problèmes de ponte de mouche dans les yeux de mes bêtes… En est-ce la cause ? Je n’en sais rien… » Mais les nuisances le concernant, il en est sûr. Même s’il n’affiche pas de syndrome de l’éolien qui entraînerait une dégradation de son état de santé. Avec le collectif du secteur, ils ont mis sur « pause » leur plainte pénale pour trouble du voisinage, en attendant de voir si les promesses du gouvernement sur le balisage sont tenues. 

« Elles sont beaucoup trop bruyantes »

Le domaine viticole de Régis Cogranne est lui aussi dans l’Aude, près de Paraza, et le retraité décrit le même stress avec les balisages des éoliennes la nuit : « Moi ce n’est pas le bruit le problème, mais j’ai le symptôme de l’avion qui ne se pose jamais et ça devient obsessionnel, venez voir, c’est hallucinant ! » témoigne-t-il.

David, apiculteur dans l’Hérault, peste contre le bruit du parc situé à 700 m de chez lui, « elles sont beaucoup trop bruyantes, je vais trouver un sonomètre et faire des enregistrements devant huissier! » prévient-il. Tout comme Delphine et Loïc, éleveurs de 120 brebis à Verreries-de-Moussans, dans le Minervois héraultais, eux aussi en colère.

Les éoliennes n’en sont pourtant qu’au stade de projet mais la fronde s’organise car là encore, on parle de nuisance avec la crainte de caisse de résonance sur ces montagnes et des répercussions : « Nous ne sommes pas contre les énergies renouvelables, mais elles seraient à 570 m, avec les bruits, les vibrations, nous craignons une baisse de production, de la fécondité voir de la mortalité… On se pose des questions ».

Bruit, vibrations, lumières… ils vivent en Occitanie, près d’éoliennes, et n’en peuvent plus – midilibre.fr

Quand l’éolien met les chauves-souris en danger – Ouest France 17 novembre 2021

En Bretagne, ces petits cadavres de chauves-souris qui embarrassent l’éolien terrestre.

« L’éolien terrestre reste néanmoins très meurtrier pour les chauves-souris, ces mammifères insectivores et pollinisateurs, très utiles pour la biodiversité. »

« Elle met en lumière l’hécatombe observée dans les 86 parcs bretons où un suivi de mortalité a été réalisé. »

« Dans le Morbihan, dans les Côtes-d’Armor et dans l’Ille-et-Vilaine, six d’entre eux ont été extrêmement meurtriers pour les chauves-souris, tuées en plein vol, percutées par les pales des éoliennes ou par implosion (barotraumatisme), en raison de la pression exercée par les machines. »

Les parcs éoliens les plus meurtriers de Bretagne. | INFOGRAPHIE OUEST-FRANCE

« Que l’on ne s’y trompe pas. Ces chiffres bruts sont bien en deçà de la mortalité réelle des chauves-souris.« 

« Depuis dix ans, on a des courbes d’évolution des espèces communes très alarmantes. C’est moins 88 % pour la noctule commune, inscrite sur la liste rouge nationale des mammifères en danger. Les éoliennes ont sûrement une responsabilité dans ce déclin. C’est un signal d’alarme très fort. »

« On ne peut pas sacrifier des espèces sur l’autel de la production verte, fait valoir Thomas Le Campion. Si l’État ne veut pas freiner l’éolien aujourd’hui, c’est clairement une question d’argent. Plus un parc fait l’objet de mesures de bridage, moins il est rentable. »

Une noctule commune morte | OUEST-FRANCE

ENQUÊTE. En Bretagne, ces petits cadavres de chauves-souris qui embarrassent l’éolien terrestre (ouest-france.fr)