Une pale sévèrement endommagée au parc éolien à Plouarzel

Ce jeudi 30 avril, une pale d’éolienne du parc des Deux-Croix en Plouarzel (29) a présenté une pliure inquiétante, laissant penser qu’elle pourrait casser et tomber au sol. De forts craquements sont, par ailleurs, audibles à 300 m, voire plus, de l’éolienne. Pour le moment, on ne connaît pas la cause de cette détérioration qui a été observée à 11 h 30.

Le scandale de la signature du décret de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie – FED – Lettre du 29 avril 2020

L’information concernant les décrets du 21 avril 2020 qui adoptent les nouvelles Programmations Pluriannuelles de l’Energie (PPE) et Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) vient de paraître dans la revue professionnelle spécialisée ACTU-ENVIRONNEMENT.
 

Le gouvernement a profité du confinement et de la pandémie pour annoncer en douce la continuité de la politique énergétique catastrophique du précédent quinquennat. Politique qui est en totale contradiction avec les révélations et les conclusions du rapport officiel de la commission d’enquête parlementaire sur les énergies renouvelables du 12 mars au 19 mai 2019 rendu le 25 juillet dernier.
 
La PPE et la SNBC, ces deux piliers de la strategié définie par le Ministère de la Transition écologique et solidaire ont fixé les objectifs de la politique energié-climat francaisȩ des dix prochaines anneeś sans tenir aucun compte des résultats de la commission d’enquête parlementaire qui a réuni les principaux spécialistes, hommes de terrain, et scientifiques en matière d’environnement et d’économie.
 
On est plombé pour plus de 10 ans avec cette PPE.
 
La commission d’enquête parlementaire ? Quelle commission d’enquête ?
 
Aucun relais médiatique, pas un mot dans la presse mainstream qui s’en fiche complètement.
 
Au profit d’une transition énergétique électrique lucrative pour ses seuls développeurs, la PPE méprise les réelles urgences que sont la survie de l’humanité par la préservation de notre environnement, la lutte contre le réchauffement et le dérèglement climatique.
 
Aujourd’hui, le nucléaire qui existe déjà reste la moins pire des solutions pour continuer à disposer régulièrement et rapidement sur commande de l’électricité décarbonée et pouvoir lutter contre le réchauffement et le dérèglement climatique. Pourquoi devons nous dépenser des sommes énormes pour acheter un maximum de gigantesques éoliennes inutiles et polluantes pour soutenir l’industrie allemande moribonde de la pseudo transition énergétique dite Verte :
 
Éolienne – En Allemagne, sur 140 000 emplois ce sont plus de 20 000 licenciements récents dans cette industrie dite d’avenir (en France, en 20 ans, c’est à peine 16 000 emplois crées revendiqués par FEE – France Energie Eolienne):
https://www.handelsblatt.com/unternehmen/energie/energiemarkt-die-internationale-windbranche-schaut-besorgt-nach-deutschland/22602356.html?ticket=ST-42729-TsR3NuEajdwoOVHVqGC3-ap1)
 
Solaire – En Allemagne plus de 100 000 emplois contre à peine 10 000 en France, mais 30 000 perdus en un an outre Rhin et des dizaines de milliards en capital privé détruits : https://www.contrepoints.org/2018/08/05/321781-la-debacle-de-lenergie-solaire-subventionnee-en-allemagne
 
Pour la survie de l’économie allemande dans sa transition énergétique à l’agonie, les hommes politiques au pouvoir en France nous forcent manu militari à acheter les machines industrielles dont nos voisins ne veulent plus !
 
Ces machines vont arriver en France et détruire des emplois sans quasiment en créer aucun :

  1. En polluant nos paysages, notre biodiversité et en enlaidissant nos campagnes, elles vont continuer à miner notre industrie touristique, qui représente 2 000 000 d’emplois (directs et indirectes) et 10% du PIB français.
     
  2. Elles vont dévaloriser nos campagnes en aggravant la destruction de notre biodiversité terrestre par accaparement et artificialisation des terres et de l’espace aérien de l’avifaune (oiseaux, insectes, chauves-souris, …) jusqu’à plus de 200 mètres de haut (avec des hélices tournant jusqu’à 300km/h).
     
  3. Sous influence lobbyiste de l’OFATE (office franco-allemand pour la transition énergétique logé dans nos ministères) et des EELV allemands, facteurs de dangereuses pertes de compétences et de moyens de recherche pour sécuriser notre industrie nucléaire vieillissante, cette PPE va poursuivre et amplifier le dénigrement, le saccage et la destruction de cette industrie qui emploie plus de 250 000 personnes.

Ces machines prétendues vertes, « made in Germany » agrées PPE, affichent compte tenu de leur brève durée de vie, un bilan ACV (Analyse de Cycle de Vie) catastrophique. Leur fabrication nécessite de grosses quantités de matières premières, d’énergie avec de fortes émissions de gaz à effet de serre pour, usées à bout de souffle et devenues improductives, devoir être démontées et remplacées au bout d’à peine 20 ans.

Nous n’avons aucun besoin, ni ne voulons de ces machines chez nous. Elles ne feront que nous appauvrir et nous faire perdre des emplois tout en aggravant le réchauffement et le dérèglement climatique.

En vertu de quelle urgence doit-on dépenser entre 90 milliards et 120 milliards d’euros plus les coûts supplémentaires de flexibilité de réseau, lissage et stockage compensatoires de l’intermittence (hydrogène, batteries, STEP, etc…) pour des produits allemands inutiles alors que grâce aux installations déjà existantes, sans émission de gaz à effet de serre, la France a toujours été sans exception tous les ans depuis plus de 20 ans en surproduction d’énergie électrique (entre un minimum de 37 TWh en 2010 et un maximum de 77 TWh en 2002) ?

Pourquoi cet acharnement à détruire notre industrie électrique nucléaire qui fonctionne depuis plus de 60 ans sans émission de CO2, au profit d’une industrie allemande polluante, championne d’Europe du gaspillage énergétique et de l’émission de gaz à effet de serre principal facteur du réchauffement et dérèglement climatique ?

Sans la contrainte de devoir compenser l’intermittence de certaines sources d’énergies dites renouvelables, avec ce qui existe déjà en France, nous pourrions arrêter quasi immédiatement les dernières centrales électriques fossiles charbon et gaz pour produire une électricité à près de 100% décarbonée et utiliser des milliards d’euros disponibles pour des urgences largement plus prioritaires que la transition électrique, à la condition de se limiter à exploiter l’hydraulique, le nucléaire et les autres sources d’énergie décarbonnées qui sont déjà en place.

En 2019, la France a produit 537,7 TWh d’électricité pour n’en consommer que 473 TWh (dont 42,6 TWh fossile charbon & gaz). Le surplus de 64,7 TWh dépasse largement les 45,7 TWh produits par les dizaines de milliers de générateurs électriques industriels géants solaires ou éoliens qui ont été éparpillées de façon anarchique sur l’ensemble de notre territoire (34,1 TWh / éolien et 11,6 TWh / solaire).

Que les décrets d’application de la PPE et de la SNBC ne mentionnent, ni ne tiennent compte dans leurs conclusions de l’existence du rapport officiel de la commission d’enquête parlementaire sur les énergies renouvelables qui s’est tenu du 12 mars au 19 mai 2019 et a été rendu à l’Assemblée Nationale le 25 juillet dernier par Julien Aubert, Président LR et Marjolaine Meynier Millefert, rapporteur LREM est un scandale.

Avoir profité des désordres de la pandémie et du confinement pour s’abstenir d’informer le public, de la parution des décrets d’application de la PPE et de la SNBC, dans la presse nationale et les médias alors que ces décrets sont des déterminants majeurs de leur avenir, c’est un autre scandale.

Ces scandales sont très inquiétants. Ce sont de très mauvais signaux sur le fonctionnement de notre démocratie.

Le chien de garde n’aboie pas à la voix de son maître.

Maintenant que faire ? Quel est notre devoir citoyen ?

Analyse effectuée par :
Luc Fontaine  président de  l’AHTI, (Association des Hébergeurs Touristiques de l’Indre et des Départements Limitrophes).
Pascal Vrignat (maître de conférences à l’Université d’Orléans, docteur en Sciences et Technologies)
( Adhérents de la FED)

Transfert des subventions de l’éolien au ministère de la Santé – FED – Communiqué presse 17 mars 2020

La Fédération Environnement Durable demande au gouvernement de transférer du ministère de la Transition écologique et solidaire au ministère de la Santé les crédits et subventions versés quotidiennement à la filière industrielle éolienne.

La Cour des comptes en 2013 et 2018, puis la commission d’enquête parlementaire en 2019, ont conclu que cette filière avait pénalisé en 2019 la France de 7 milliards d’euros par des taxes alors qu’après 15 ans, elle n’avait fourni que 5 % de l’électricité française, et avait renchéri les tarifs de l’électricité de 35 %.
https://www.lepoint.fr/economie/energies-renouvelables-la-charge-severe-de-la-cour-des-comptes-18-04-2018-2211765_28.php )       

Ce montant de 7 milliards d’euros transféré au ministère de la Santé permettrait d’augmenter de 9 % le budget des hôpitaux, actuellement de 80 milliards d’euros, et de renforcer leurs effectifs pour faire face à la crise sanitaire.
https://www.ars.sante.fr/budget-des-hopitaux-une-hausse-de-2-milliards-deuros-pour-2019

 Cette décision pourrait être prise par 2 décrets :
—  arrêtant les subventions existantes de la filière éolienne. 
—  déclarant un moratoire pour suspendre l’implantation des nouvelles machines. 

Contact presse
Jean-Louis Butré
Fédération Environnement Durable
http://environnementdurable.net
contact@environnementdurable.net

Éoliennes bidon ou Santé Béton ? ÉconomieMatin 14 mars 2020

La France a déjà dépensé 120 milliards d’euros dans les éoliennes.

Pendant la construction de 8000 éoliennes en France, terrible échec industriel, le budget de la santé a subi 8 milliards de crédits supprimés, 100 000 lits fermés, 95 services d’urgence éliminés, la moitié des maternités rayées de la carte. La comparaison est insupportable.

Le « grand mensonge » aux Français

Après trois ans de crise grave sanitaire et maintenant le coronavirus fatal, c’est le choix budgétaire de l’Etat qui est malade : seulement 25 % des éoliennes coûtent autant que la remise à niveau de la totalité de notre système de santé, estimée à 30 milliards minimum.  Et si le résultat avait été au rendez vous, mais ce n’est pas le cas. La France a englouti 120 milliards dans une solution gadget qui prétendait remplacer le nucléaire : les éoliennes. Après avoir dépensé un coût faramineux égal à toutes les autres énergies, les éoliennes ne fournissent que ce ridicule  5% de l’électricité française, seulement 1 jour sur 5, et elles ont renchéri les tarifs de l’électricité de 35%, pour rien. La commission parlementaire d’enquête la plus importante des 20 dernières années (Aubert- Meynier Millefert) l’a bien démontré en 2019, y compris au sein de la majorité présidentielle qui a très sévèrement interpellé le dernier congrès de France Energie Eolienne fin 2019, en soulignant ce « mensonge » aux Français. Emmanuel Macron lui mêrme a repris le message à Pau en janvier 2020 en soulignant que nous arrivions au bout de cette logique absurde. La colère gronde.

La suite sur http://www.economiematin.fr/news-eoliennes-energie-arnaque-sante-danger-france-grangeon

Les éoliennes polluent énormément – Économie matin 10 mars 2020

Depuis quelques années, le lobby des énergies renouvelables reste crispé sur une seule filière, celle qui permet de faire beaucoup d’argent tout de suite sans lendemain. Contrôlé par seulement 9 fabricants, tous étrangers, il propose un seul modèle d’éoliennes alors qu’il en existe 14 !!! Les structures sont gérées par des lobbyistes et financiers professionnels ayant peu de rapport avec l’énergie, venant des cabinets d’avocats d’affaires ou de fonds de pension. Ce qu’on ignorait, c’est que cette filière est aussi très polluante. Même Emmanuel Macron s’est rendu compte de la supercherie en déclarant à Pau en janvier 2020 que la coupe était pleine, face au mécontentement général.

Les éoliennes polluent et elles polluent énormément !!!

Un désastre écologique et environnemental est révélé par une inspection générale interministérielle effectuée en mai 2019, véritable bombe écologique, encore trop confidentielle.(CGEDD 012673-01)

3 immenses problèmes techniques et un gros souci financier.

Depuis dix ans , un subterfuge avait exclu des contraintes environnementales les socles des éoliennes en béton de plusieurs milliers de tonnes chacun. Cette mesure est d’une part contraire aux Directives Européennes, et surtout, les experts confirment que ces immenses socles en béton polluent énormément le sous-sol à terme et notamment les ressources en eau. Les propriétaires qui louent leur terrain ne sont ni informés ni indemnisés et vont se retrouver avec des terrains pollués inutilisables et même responsables de ces pollutions !!! Une réponse ministérielle à la question d’un parlementaire le reconnait depuis 2018.

Les pales des éoliennes sont en matériaux de synthèse et résine et n’ont qu’une durée de vie limitée de quelques années. Leur renouvellement périodique crée actuellement un gisement de 200 000 tonnes de déchets difficiles à recycler. Les promoteurs éoliens n’ont rien fait depuis 15 ans pour prévenir ce problème. Bien pire, ils s’apprêtaient à refiler ces déchets dans la filière publique subventionnée. Le Ministère des Finances prévient qu’il n’en est pas question et que les promoteurs doivent prendre ce coût colossal à leur charge, ce qu’ils n’ont pas prévu. Des stockages discrets existent déjà un peu partout, et même des destructions sauvages très polluantes. De plus, on enregistre de nombreuses maladies professionnelles et cancers chez les fabricants de pales sousmis à des délais rapides pour plus de profits.

5 milliards de profits mais un trou de 12 milliards

C’est là où le problème financier intervient : obsédés par les profits, les promoteurs éoliens ont encaissé les subventions des tarifs élevés en bénéfices alors qu’ils devaient couvrir ces coûts environnementaux. Les provisions de démantèlement sont ridicules quand elles existent, souvent de l’ordre de 50 000 euros, au moins dix à quinze fois moins que nécessaire …. Il existe aux USA 14 000 éoliennes abandonnées rouillées en pleine nature par les fonds de pension à cause de ce problème. Ces mêmes propriétaires possèdent 80 % du parc français éolien !…. car les promoteurs ne gardent pas la propriété de leurs éoliennes dès la mise en service.

http://www.economiematin.fr/news-eolienne-pollution-ecologie-economie-impact-grangeon

Dernier point au moins aussi important que le problème de l’amiante : les alternateurs des éoliennes sont élaborés à base de lanthanides, ces terres rares spéciales qui dopent les aimants. On connait déjà le gros problème des ordinateurs et téléphones portables pour quelques grammes. Il peut y en avoir 200 kilos par éolienne !!! De plus, avec l’usure, ces matériaux sont dispersés au vent à 100 m de haut jusqu’à 40 km à la ronde. Là encore, rien n’est prévu pour le moment. Leur extraction produit deux fois plus de déchets toxiques radioactifs que les combustibles nucléaires !! Un comble !!!

Les associations du patrimoine demandent un moratoire sur l’éolien terrestre – La Croix 9 mars 2020

Neuf associations engagées dans la défense de l’environnement et du patrimoine demandent de nouvelles règles sur l’éolien terrestre et la suspension de l’installation des 6 500 éoliennes prévues d’ici à 2028

Pour les associations, le gigantisme, les nuisances et l’installation jugée anarchique de l’éolien terrestre est un vif motif d’inquiétude. « La nouvelle génération d’éolienne, ce sont des installations de plus de 200 mètres. C’est la hauteur de la Tour Montparnasse (209 m). Cela provoque un effet d’écrasement sur les paysages avec un effet sériel qui les uniformise », a critiqué Julien Lacaze.

Les associations se sont aussi montrées préoccupées par le système de bonus accordé aux installations d’éoliennes dans les régions jusqu’ici peu ou pas concernées par l’éolien terrestre (comme l’Aquitaine ou la Touraine). « On oppose les régions saturées, comme le Nord, aux régions épargnées. De la même manière, on essaye d’opposer la préservation de « grands paysages » – où se trouverait un monument classé – aux paysages du quotidien. Nous refusons cette mise en concurrence », a poursuivi Julien Lacaze.

Les associations demandent que les propos du chef de l’État se traduisent par un « moratoire sur l’éolien terrestre » et que la distance minimale actuellement prévue entre les habitations et les installations (500 mètres) soit doublée.

https://www.la-croix.com/environnement/associations-patrimoine-demandent-moratoire-leolien-terrestre-2020-03-09-1201083071

Invitation atelier n°3 – Projet Parc éolien des Boules – Loge-Fougereuse

Nous vous informons que l’invitation ci-jointe pour l’atelier N°3 à destination des habitants et des riverains du projet éolien des Boules en cours de finalisation a été transmise seulement à un cercle très restreint.

Pourtant, lors de cette rencontre l’implantation retenue et l’analyse d’impacts du projet du parc éolien seront présentées.

Nous sommes tous concernés directement ou indirectement.

Nous sollicitons tous les volontaires à se mobiliser le mardi 10 mars 2020 à 18h45 à Loge-Fougereuse sur le parking de l’église devant l’entrée de la salle (petite salle située en dessous de la Mairie) où se déroulera l’atelier finalisé du projet éolien pour marquer notre opposition à la poursuite de cette implantation.

La Tribune – L’échec annoncé de la politique éolienne 3 mars 2020

« L’opposition aux éoliennes s’amplifie. Après le gâchis de l’arrêt de la centrale nucléaire de Fessenheim en bon état de marche, de plus en plus de personnalités rejoignent les opposants historiques à l’arrêt du nucléaire. Car oui, nous mettons au rébus des installations amorties qui ne produisent pas de CO2 pour les remplacer par des installations qui, si elles n’en produisent pas non plus, présentent de très nombreux inconvénients et augmentent la facture électrique des citoyens. »

« Après des années d’efforts, nous devons constater que l’électricité d’origine éolienne représente, dans l’UE, 11 % de la production globale d’électricité, loin derrière la production d’énergie électronucléaire qui en représente 25 % et celle du gaz naturel avec 21%. Mais, si ce chiffre de 11% peut sembler intéressant, il ne dépasse pas les 1,9 % une fois ramené à l’énergie primaire. Si l’on ajoute les 0,5% d’énergie solaire, ce résultat de 2,4% en énergie primaire a été obtenu après avoir dépensé 689 milliards de dollars entre 2010 et mi 2019. Depuis 2000, un million de millions d’euros a été dépensé dans l’UE pour des résultats, somme toute, négligeables. Tout ça pour ça ! « 

« On observe qu’en moyenne dans l’UE les éoliennes ne produisent que pendant 23 % du temps. Que faut-il faire pendant les 77 % du temps restant ? Utiliser les équipements de production traditionnels. »

« Aucune solution économique et industrielle n’est aujourd’hui en vue pour compenser cette intermittence. Malgré la diminution du coût d’installation des éoliennes, mais également de leur coût de génération (44% de réduction en dix ans), la facture du citoyen ne cesse d’augmenter. Les données statistiques de l’office Eurostat de l’UE montrent que plus on produit de l’électricité intermittente, plus le consommateur paye cher son électricité.« 

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/l-echec-annonce-de-la-politique-eolienne-841120.html